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Peter Jossen-Zinsstag - Ständeratskandidat 2007 - Archiv 2004-2007

Peter Jossen-Zinsstag



Ständeratskandidat 2007

Peter Jossen-Zinsstag Ständeratskandidat 2007 Erfahrung - Vertrauen

News

Archiv 2004-2007

"Oui a une vraie politique familiale", Le Nouvellise 06.11.2006
Pour une Suisse munatitaire, non aus lois «Blocher », Le Nouvellise 06.06.2006
Au clair de la lune, Le Nouvellise 10.06.2006
"Au-delà des chaussettes rouges", Le Nouvellise 01.02.2006
Pour les places de travail, oui le 25 septembre, Le Nouvellise 31.08.2005
La peur est mauvaise conseillère, Le Nouvellise 28.02.2005
Schengen : prendre les gens au sérieux, Le Nouvellise 03.11.2004
Paquet fiscal-retour à l’expéditeur, Le Nouvellise 03.05.2004
Avanti : un désastreux méli-mélo, Le Nouvellise 30.01.2004

 

"Oui a une vraie politique familiale"

PETER JOSSEN-ZINSSTAG, ancien conseiller national

Le Nouvellise 06.11.2006

Les faits sont scandaleux: un enfant est aujourd'oui un risque de pauverté.
Des «travailleurs pauvres» le deviennent en effet à la suite d'une naissance dans la famille et un enfant sur dix est pauvre. Avoir des enfants coûte malheuresement de plus en plus cher et la période durant laquelle if laut les entretenir s'allonge de plus en plus. Les problèmes financiers des familles sont réels et incontestés, les charges des parents augmentent donc, alors que leur pouvoir d'achat s'érode.
Cela explique en partie la baisse de natalité, dont notre societé tout entière subit les conséquences. Notamment les assurances sociales.

Dans ce contexte une action en faveur des familles est non seulement nécessaire, mais aussi source de nombreux bénéfices.
La loi fédérale sur les allocations familiales permet d'améliorer la situation financière des familles, en fixant des standards minimaux valables pour tous les cantons, car les problèmes des familles ne sauraient s'arrtêter aux frontières cantonales.
Il est vrai que notre canton est un exemple dérangeant pour les opposants. Le Valais - canton fincncièrement pauvre – accorde 260 francs par mois pour chacun des deux premiers enfants et 344 francs dès le troisième enfant. Il n’y a aucune raison économique valable qui empêcherait le reste de la Suisse de monter au niveau valaisan. Le oui à l'harmonisation ne changera pas les montants valaisans, mais il amènera une simpfification des règles d'attribution et deux amé1iorations concrètes: les enfants des salariés à temps partiel recevront dé sormais une allocation entière. De plus, les enfants des personnes sans activité lucrative et ä faible revenu (moins de 38700 francs en 2006) bénénéficieront également d'une allocation.


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Pour une Suisse munatitaire, non aus lois «Blocher »

PETER JOSSEN-ZINSSTAG, ancien conseiller national

Le Nouvellise 06.06.2006

La législation actuelle de notre pays contient une bonne dizaine de dispositions pénales pour tous les Suisses et les étrangers.
Les lois actuebes permettent déjà de combattre les abus; elles sont suffisantes pour la lutte contre les criminels en matière d'asile, notamment les dealers de drogue.
Tel est l' avis de personnalités issues de tous les milieux politiques, comme François Couchepin, Mario Botta, Ruth Dreifuss, Isabelle Chassot, François Dayer, Fernand Mariétan, Narcisse Crettenand, Marie-Christine Zen-Ruffinen, Micheline Calmy-Rey, Pia-Maria Tschopp, Jaques Neyrinck, Jean Paul Duroux, John Dupraz et autres.

Pour Christoph Blocher - milliardaire-pensionnaire au Conseil fédéral, qui n’ose pas débattre dans «L:Arena» - ces gens sont des naifs. Tout comme notre évêque, Mgr Brunner, et Mgr Joseph Roduit, abbé de Saint-Maurice.
La nouvelle loi «Blocher» sur les étrangers prévoit une pratique plus restrictive pour le regroupement familial.
La nouvelle loi «Blocher» sur les refugiés prévoit la possibilité d'enfermer quelqu'un pendant deux ans, parce c’est étranger, séjourne Suisse sans papiers, refuse collaborer à son renvoi ou collabore pas dans la mes jugée suffisante par l'adminitration.
C'est contraire aux principes de I’égalité devant la loi la dignité humaine et de la berté personnelle, tous insc dans notre Constitution.
Disons non aux lois «Blcher» et ouvrons enfin le chemin ä une loi sur l'immigration et non contre les immigrants. Une loi qui retienne les dissitions non contestées sur tégration.


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Au clair de la lune

PETER JOSSEN-ZINSSTAG, ancien conseiller national

Le Nouvellise 10.06.2006

SuisseRando organise ce week-end, pour la première fois de sa longue histoire « La Nir suisse de la randonnée».

C'est avec fierté – en ma qualité de prèsident de SuisseRando – que j'invite tous les lecteurs du «Nouvelliste» à une de nos marches de nuit, et ce de Martigny jusqu’à la valle de Conches.

Je vous promets une nuit pas comme les autres.

Nos organisations cantonales - par exemple Valrando - ont mis sur pied des programmes «super cool» aussi et avant tout pour les jeunes, qui sont à la recherche de l'inhabituel.

La Nuit suisse de la randonnée n’est pas un appel à pratiquer ce sport principalement de nuit dorénavant.

L’ouverture occasionnelle de musèes de nuit dans certaine villes de Suisse est aussi un succès, mais les musées ferment malgré tout à nouveau le soir.

Cette première Nuit de la randonnée – et SuisseRando veut en faire une tradition – sera pour nous une simple source de plaisir suplémentaire. Elle fera souffler un vent nouveau sur la randonnée.

Ei si quelque personne jusqu’ici allergique au mouvement décide d’enfilier ses chaussure et prend goût à sillonner les sentiers, cette première sear réussie.

Si les gens ont dècouvert la beautè des musèes lors de visites nocturnes, la Nuit de la randonnée aurait un effet similaire.

www.nuitrando.ch


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"Au-delà des chaussettes rouges"

PETER JOSSEN-ZINSSTAG, ancien conseiller national

Le Nouvellise 01.02.2006

Durant ma courte période de présidence de la Fédération suisse du tourisme pédestre - bientôt Suisse-Rando - j'ai constaté des préjugés répandus vis-à-vis des amoureux de la randonnée. On nous traite parfois de «rêveurs bigots avec leurs chaussettes rouges». Moi aussi, je possàde une paire de ces fameuses chaussettes rouges, offertes en cadeau par des amis malicieux.
Chaussettes rouges? Embléme du randonneur chevronné? Derrière le cliché, on peut découvrir une sous-estimation systématique du travail effectué par de nombreux bénévoles, qui garantissent un réseau de chemins attrayants, sûrs, balisés et entretenus. Pouvez-vous vous imaginer la Suisse, le Valais, sans nos panneaux jaunes si familiers? Mais qu'exprime le cliché finalement amusant? Je pense qu'on a longtemps sous-estimé la randonnée comme activité physique, comme facteur économique et comme contribution à une meilleure santé.

La randonné contribue a une influence bénéfique sur les coûts de la santé. Savez-vous que le manque de mouvement engendre en Suisse des coûts annuels de 2,3 milliards de francs? Que plus de deux millions de Suisses sont obèses? Que le mouvement et le sport ont un effet antidépresser et qu'ils contribuent à la réduction du stress? Il y a des siécles que les hommes connaissent le secret d'une bonne santé: il faut une nourriture regulière, équilibrée et naturelle, assortie d'activités physiques judicieuses.
Plus qu'un million de personnes de tous àges ont redécouvert la randonnée. Chez nous en Valais, c'est avant tout le mérite de quelques pionniers de Valrando, sous la présidence de Willy Felley. Valrando, première association cantonale de SuisseRando à obtenir la certification ISO. Citons aussi l'association du Tour du Cervin, présidée par Roger Anzévui, et des personnalités comme Angelika Brunner, Trudi et Oskar Andres, Heinz Oggier, Maria Kenzelmann, André Fagioli, Pierre Glassey et j'en passe.

Activité saine et respectueuse de l'environnement, la randonnde est une composante importante du tourisme doux, été comme hiver. SuisseRando et ses organisations cantonales ont des contacts étroits avec les responsables de la promotion de la santé. Il n’est toutefois pas nécessaire de réinventer la roue: tous les acteurs savent parfaitement que la randonnée, une alimentation saine et naturelle et le développement durable font un ensemble important - pas seulement pour nous en Valais.


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Pour les places de travail, oui le 25 septembre

PETER JOSSEN-ZINSSTAG, conseiller national

Le Nouvellise 31.08.2005

On s’en souvient, ceux qui luttent contre les bilatérales Il avaient déjà exploité la peur des gens en 2000. La campagne des «Neinsager», aujourd'hui comme hier, est essentiellement basée sur la mise à profit de cette peur. Au lieu d'analyser les problèmes et d'élaborer avec les autres partis politiques des solutions, leur campagne joue avec la peur. Mais la réalité montre une image différente.

Alors comment juger les expériences faites jusqu'à présent en matière de libre circulation des personnes avec l’Union européenne des 15? A l'enconétre des nombreuses craintes, les conséquences sur l'immigration et le chômage sont restées très faibles. La libre circulation des personnes touche déjà 84% des citoyens de l’UE, et l'on ne constate aucun changement significatif en ce qui concerne le nombre des séjours de courte durée ou de frontaliers.

Malgré ces faits, la grande majorité de l'UDC prétend, que les accords avec l'Union européenne vont à l'encontre des intérêts de l'économie suisse et valaisanne. Et l'on constate que tous les gens sérieux de l'économie disent exactement le contraire. Pourquoi alors voter oui le 25 septembre? Parce que les praticiens savent que la Suisse a besoin de la collaboration européenne pour avancer économiquement. L’Union européenne est notre principal partenaire commercial. Un emploi sur trois dépend de nos exportations en direction de l'UE. Pour nous en Valais, environ 40 000 places de travail. Et les mesures d'accompagnement offrent un plus grand degré de protection et de meilleurs contrôles contre le dumping salarial que ce n’est le cas aujourd'hui. De plus, contrairement à la libre circulation des personnes, ces mesures, entrent immédiatement en vigueur.

Quelles seraient les coriséquences d'un non? En un mot, l'incertitude. La Suisse créerait une inégalité de traitement entres les anciens et les nouveaux membres de l'UE, certains bénéficiant de la libre circulation, d'autres non. L'UE pourrait dénoncer tous les accords conclus avec la Suisse. Avec des conséquences graves pour nos places de travail. Alors saisissons la chance qui s'offre à notre pays.


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La peur est mauvaise conseillère

PETER JOSSEN-ZINSSTAG, conseiller national

Le Nouvellise 28.02.2005

L’UDC n’a donc pas déposé de liste pour les élections au Conseil d’Etat – contrairement à ce que l’écrivain de Savièse avait annoncé, comme toujours haut et fort. L’UDC n’a m’eme pas déposé de listes pour la députation dans les districts de Viège et de Loèche.

Le conseiller national UDC préfère, paraît-il, fire tembler le monde musulman par ses poèmes plutôt que de mener le débat politique en Valais.

Faut-il constater que l’UDC a peur? Eur de perdre les élections canto0nales après son manque de réussite dans les communales ? Ou alors manque-t-elle de personnalités crédibles pour briguer un siège au Conseil d’Etat? N’y aurait-il, dans les trois régions de notre canton – contrairement a ce qui avait été annoncé publiquement - aucune personnalité prête à témoiger, par une cndidature au gouvernement, son soutien à la cause L’UDC ? Au leieu de se mêler aux débats sur les movens de résoudre les problèmes de notre canton, l’UDC a peur ?…

Aucun parti politique n’avait exploité la peur des gens ces dernières années comme l’UDC. Au lieu de prendre les craintes de la populations au sérieux, d’analyser les problèmes et d’élaborer avec les autres partis politiques des solutios, l ‘UDC avait essentiellement basé son succès sur l’exploitations de la peur.

Et cette politique du « non » continue. Comment un parti gouvernemental peut-il séreusement prétendre que les accords avec l’Union européenne vont à l’encontre des intérêts de l’économie suisse et valaisannes, alors que tous les gens raisonnables de l’économie disent exactement le contraire ? Comment sérieusement prétendre que les accords Schengen et Dublin diminuent la sécurité – alors que tous les mommandants de plices et les chefs des départements concernés disent que Schengen et Dublin apporte plus de sécurité à la population de notre pays ?

Les praticiens savent que la Suisse a besoin de la collaboration européenne, pour lutter efficacement contre la criminalité et puir avancer économiquement. La peur est vraiment mauvaise conseillère. Alors disons non à l’exploitation politique de la peur. Mais prenons au sérieus les gens. Toutes les forces raisonnables de notre canton sont appelées à faire tout ce qui est nécessaire pour regagner le soutien de la population face à des campagnes de haine et de peur.


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Schengen : prendre les gens au sérieux

PETER JOSSEN-ZINSSTAG, conseiller national

Le Nouvellise 03.11.2004

Selon les commandants de police et les chefs des départements de sécurité, les accords de Schengen et Dublin apportent plus de sécurité à la population de notre pays, qui a besoin de la collaboration européenne pour lutter efficacement contre la criminalité. L’annonce d'un référendum avant même les débats des Chambres fédérales laisse deviner comment la campagne des adversaires va être menée. Dans ce contexte, il est important de voir que la sécurité est devenue une préoccupation importante de la population.

Si les forces raisonnables de notre pays veulent gagner le soutien de la population dans une campagne de haine et de peur, il faut prendre ses soucis au sérieux. Il faut donner des réponses, qui ne soient pas celle de l'UDC. Pour la gauche et les syndicat la sécurité sociale étalt le théme c1é de la polltique. Sécurité de l'emploi, sécurité matérielle, santé, retraite: les socialistes ont toujours mis un accent fort sur la prévention des causes de la délinquance et en particulier sur la restauration du tissu social. Certes, la prévention seule ne suffit pas, et il faut un recours mesuré à la répression. Mais n’oublions pas les priorités: d'abord favoriser l'intégration sociale des jeunes et des moins jeunes. La recherche scientifique montre que beaucoup de délinquants ont ressenti une grande frustration lors de leur parcours scolaire. Un appui scolaire et pséchologique plus important doit être fourni aux é1éves en difficulté. Ensulte il faut diminuer le potentiel de violence de la société. Une amé1ioration de la qualité de vie et des conditions de travail est ici essentielle. L'augmen tation du stress et des exigences de performance contribuent à rendre les gens agressifs, d'où violences conjugales, comportement sauvage au volant, ou encore violences lors d'événements sportifs.

En plus il faut mieux, intégrer la population étrangére, en y consacrant davantage de moyens. Cette exigence concerne surtout les immigrés de la deuxiéme généra tion et les jeunes fraichement arri vés en Suisse, pour qui une intégra tion ratée constitue souvent le prémier pas vers ladé1inquance. Et finalement il faut renforcer la fonction préventive de la police, qui doit recruter davantage de personnes issues de diverses minorités, notamment culturelles, et développer les compétences sociales et de médiation de son personnel. La mise en place d'une police de proximité s'impose. De telles mesures dissuadent certains dé1inquants de passer à.I'acte et contribuent à rassurer la popldation,


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Paquet fiscal-retour à l’expéditeur

PETER JOSSEN-ZINSSTAG, conseiller national

Le Nouvellise 03.05.2004

Le peuple Suisse devra se prononcer le 1é mai sur un «Paquet fiscal » qui est joliment habillé. Mais sous les belles apparences, le «cadeau" convient des denrées mortelles.

La Suisse est le seul pays au monde, où les gens votent les impôts, qu'ils devront payer. Mais l'Etat ne devrait proposer de supprimer où baisser un impôt déjà voté et admis par les citoyens, que s'il y a des raisons impérieuses de le faire et s' il y a assez d'argent. La réalité est totalement différente: La Confédération coupe des prestations un peu partout, et M. Merz ne veut absolument pas dire avant le 1é mai" quel domaine sera encore plus touché par son prochain programme d'économie déjà dans le «pipeline».

Un Parlement fédéral doit garantir le droit des citoyens de pouvoir exprimer leur volonté réelle et ne poser qu'une seule question la fois. Mais que constate-t-on? Au lieu de séparer, les questions totalement différentes sur les droits de timbre, l'imposition de la famille et celle de la propriété immobiliére la majorité de droite a lié les trois choses. Ce qui rend la sitution des votants démocratiquement impossible.

En plus la majorié du Parlement prive les cantons et les communes - sans les écouter - de 2500 millions de recettes par an. La conséquence: des réductions massives de prestations: augmentation des émoluments, augmentation des impôts cantonaux et communaux, augmentation supplémentaire des primes d'assurance maladie en raison de la baisse des subsides aux familles et des subventions des hôpitaux, d’avantage d'éléves dans les classes et suppression de facultés dans les universités, diminution des prestations dans des transports publics régionaux et par conséquent augmentation des prix. Et puis, pendant les délibérations sur le paquet fiscal, le probléme de la progression à froid a été totalement oublié. Pour remédier ä cette erreur on se met à modifier le projet quelques semaines avant la votation: un bricolage incroyable et pas crédible, En plus, la «solution » proposée n'en est pas moins stupéfiante, parce que Berne diminue encore les recettes des cantons et de la Conféderation. Cela implique bien sûr de nouvelles coupes douloureuses dans les prestations utiles à toutes et à tous. Alors non à ce paquet mal fice1é - retour à l'expdditeùr.


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Avanti : un désastreux méli-mélo

PETER JOSSEN-ZINSSTAG, conseiller national

Le Nouvellise 30.01.2004

Le peuple suisse va se prononcer le 8 février sur le contre-projet le moins serieux que j'aie connu en tant que parlementaire. Au lieu de séparer deux objets toute à fait différents - second tunnel routier au Gothard et financement des projets de trafic dans les agglomrations - la majorité de droite a 1ié les deux choses. D'où une situation démocratiquement impossible: celui qui veut résoudre les problémes de trafic dans les villes doit auissi voter pour un investissement inutile et désastreux au Gothard.

Le contre-projet Avanti est un programme de construction routiére excessif. Les 300 à 350 millions pour le trafic d'agglomération qu'évoque le Conseil fédéral dans sa brochure ne sont que poudre aux yeux: ils ne figurent nulle part dans le contre-projet. On nourrit ainsi les agglomérations à la petite cuillére pour les calmer, alors qu’on sert la construction routière à la louche…

Les maires, syndics et présidents de Genève, Lausanne, Neuchâtel, Le Locle, Delémont, Montreux, Morges, Nyon, Renens, Brigue Loèche et 35 autres membres d’exécutifs communaus de Suisse romande recommandent le non. Le contre-projet n’apporte aucune solution au problème du trafic d’agglomération. Et le flou règne en matieère de financement : quelle part sera réservée aus agglomérations ? Sur un total de 1.5 milliard par an, un susucre de 300 à 350 millions à partager entre 55 agglomérations ? Rien qui permette de régler les problèmes de trafic de villes.

Quant a secont tube au Gothard, il es en construction – pour le rail bien entendu. Concurencer l’investissement déjà en cours serait économiquement désastreux. En abondonnant sa politique de ferroutage, le cCobnseil fédéral désavoue tout une séerie de décisions populaires : protection des Alpes, NLFA, RPLP, etc.

Dans sa brochure explicative, il fait état de «conditions strictes à la construction du deuxième tume au Gothard » ; or il n’y a pas de trace de telles restrictions dans le texte du contre-projet. En revanch, le message du 15 mai 2002 du Conseil fédéral sur l'initiative Avanti, était, lui, sans équivoque: «Le Coiiseil rejette l'idee d'un deuxième tunnel routier à traver le Gothard…» «Ce tunnel donnerait un signal erroné quant à la politique de transfert de la route au rail…» «Il viderait de son sens l’article sur la protection des Alpes approuvé par le peuple et les cantons. » On ne saurait être plus clair.


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22. Oktober 2007

18'128 mal Merçi

 

 

19 octobre 2007

"Le socialiste haut-valaisan Peter Jossen s'est surtout profilé pour succéder à son camarade Thomas Burgener"

L'hebdo 18 octobre 2007

  SP - klar.sozial