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Peter Jossen-Zinsstag - Ständeratskandidat 2007 - Questions et réponses

Peter Jossen-Zinsstag



Ständeratskandidat 2007

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Questions et réponses

Projet d'avenir Valais 2015


10 questions et réponses sur la candidature au Conseil des Etats 2007 de Peter Jossen-Zinsstag, avocat et notaire, membre du Conseil national de 1999-2003 

1. Quelle est ta motivation

Je fais de la politique depuis plus de 25 ans. J'ai pu faire des études passionnantes et je suis depuis 25 ans avocat et notaire indépendant dans le canton du Valais. Je m'estime privilégié et j'aimerais rendre un peu de tout ça aux gens qui m'ont toujours soutenu.

 

2. Quels sont tes projets d'avenir pour le Valais?

Je veux m'engager pour que notre canton et ses habitants aient toujours un avenir en 2015.
La question politique essentielle du futur est le changement climatique. Pour moi, en tant que représentant d'un canton qui est un véritable château d'eau, le fait que l'industrie et le monde de la finance soient prêts à pratiquer une nouvelle politique dans l'intérêt de notre planète, constitue un défi historique.
Nous savons qu'il n'y a rien de mieux qu'un programme d'efficacité énergétique pour créer des places de travail dans les régions périphériques: l'avenir appartient aux nouvelles générations d'ingénieurs et de PME qui développent de nouvelles technologies pour se passer du pétrole et du nucléaire. Le canton du Valais s'y prête à merveille.
Nous ne pouvons quand même pas accepter de rester dépendants de quelques bandits du pétrole à l'étranger, sans nous donner la peine de tirer profit du soleil, du bois, du vent et de la biomasse. Il y a là un potentiel énorme d'innovation, une chance fantastique pour les jeunes.
Nous avons besoin de nouvelles alliances politiques entre les adversaires de l'énergie nucléaire en Suisse alémanique et les cantons réservoirs d'eau.
Augmenter la puissance hydraulique, développer l'énergie éolienne, rénover les bâtiments historiques – tous ces projets nécessitent des interlocuteurs crédibles dans les cantons de montagne. J'utiliserai toute mon expérience politique et professionnelle pour trouver des solutions d'avenir dans l'intérêt du canton du Valais.
 
3. Quelles sont tes chances?

Mes chances sont intactes. Si le grand favori, Jean-René Fournier, est élu au premier tour – un scénario prévu par la plupart des observateurs – je pourrai réussir au deuxième tour. Mais seulement, si je peux faire un excellent résultat au premier tour.
Je suis persuadé que les quelque 190'000 électeurs du Valais ont leur propre opinion et qu'ils ne vont pas élire tout simplement les candidats qui ont pu être désignés par une centaine de délégués.
Les réactions à ma candidature le prouvent bien: les électeurs ne veulent pas que les partis majoritaires se répartissent les mandats politiques entre eux. Ils veulent pour le canton du Valais, la représentation la meilleure et la plus forte à Berne.

4. Pourquoi est-il important pour toi de revenir dans la politique nationale?

Il y a quatre ans, je n'ai pas été réélu au Conseil national bien que j'aie récolté davantage de voix personnelles que Jean-Noël Rey. Les gens en Valais n'ont pas voulu que je sois exclu de la politique bernoise. Je veux penser à l'avenir et c'est pourquoi j'ai décidé de présenter de nouveau ma candidature et d'essayer de revenir sur la scène politique à Berne. Les deux sièges des conseillers aux Etats valaisans sont à pourvoir. Et je veux de nouveau tenter ma chance.

5. Qu'en est-il du jeu d'équipe avec les autres parlementaires?

Je me suis toujours considéré comme le membre d'une équipe qui défend les intérêts de tout le Valais. Je suis persuadé qu'un représentant du PS au Conseil des Etats peut apporter plus pour le canton du Valais. Il y a beaucoup de projets en cours qui ont besoin d'être défendus par quelqu'un disposant d'un vaste réseau de relations. Mon expérience et mes contacts devraient me permettre de contribuer au succès. J'aimerais pouvoir rassembler en un tout mon parcours professionnel et mes activités politiques actuelles à Berne.
 
6. Un Conseiller aux Etats doit aussi être élu par les autres partis. Comment est-ce que tu vois ça?

En 2003, j'ai fait plus de 40 pourcents des voix contre Rolf Escher, le Conseiller en poste. Au deuxième tour, j'ai gagné à Sierre, à Loèche et dans environ 10 autres communes, et cela malgré le fait que mon opposant n'avait été en poste que depuis 4 ans et que personne ne voulait qu'il s'en aille. Maintenant qu'il y a deux nouveaux candidats, mes chances sont meilleures.
 
7. On parle de "rupture le tournus interne". Qu'est-ce que ça veut dire et qu'en attends-tu?

Le „tournus“ est un accord préjudiciable entre les „jaunes“ (CSPO, parti chrétien-social du Haut-Valais) et les „noirs“ (CVPO, parti démocrate-chrétien du Haut-Valais), suivant lequel un conseiller en poste doit céder sont siège après 8 ans au parti de la même famille politique. Ce système a eu pour conséquence que des personnalités parfaitement qualifiées et reconnues comme le Dr. Hermann Bodenmann, le Dr. Odilo Guntern, Peter Blötzer, Daniel Lauber ont dû quitter Berne après 8 ans et le canton du Valais n'a donc jamais pu obtenir la présidence du Conseil des Etats. Pour moi, une chose est claire: ce système de tournus doit cesser.
8. Le PDC, en tant que parti majoritaire, prétend que seul le système de "tournus" permettra au Haut-Valais de garder un siège au Conseil des Etats. Qu'en penses-tu?

C'est une argumentation cousue de fil blanc: la représentation du canton du Valais doit être bilingue car environ 70 pourcents de l'administration centrale à Berne est de langue alémanique. S'il sait utiliser intelligemment son bilinguisme, c'est un grand avantage pour le Valais d'avoir un représentant de chacun des territoires linguistiques. En outre, le parti majoritaire aurait pu depuis longtemps faire inscrire dans la constitution ce droit du Haut-Valais pour régler le problème correctement du point de vue juridique.

9. Tu parles d'une représentation intelligente du Valais à Berne. Qu'entends-tu par là?

Les rapports de force politiques sous la coupole fédérale sont tout autres qu'en Valais: personne ne dispose d'une majorité absolue. Chacune des décisions majoritaires est le résultat de négociations entre des partenaires qui changent toujours. Le PDC n'a pas le droit en Valais – ni mathématiquement, ni sur le plan politique – à 100% des conseillers aux Etats. Aucun autre canton suisse n'envoie à Berne deux conseillers aux Etats du même parti. Seul Uri et Neuchâtel constituent une exception historique. Le PDC n'a plus que 28 conseillers nationaux. Le PS, par contre, en a 52. Le PDC en a certes plus au Conseil des Etats, soit 15. Le PS en a quand même 9, si bien que l'ensemble de la délégation PDC à l'Assemblée nationale compte 43 sièges alors que le PS en compte 61.
A ceci s'ajoute que le PS a deux Conseillers fédéraux alors que le PDC n'en a qu'un. Si l'on veut défendre efficacement une région, on ne peut pas seulement compter sur un parti.
 
10. Qu'est-ce que les autres candidats n'ont pas et qui fait que tu es mieux qualifié?

L'expérience au niveau national. J'ai été conseiller national pendant presque 5 ans, vice-président de la Commission de gestion du Conseil national, j'ai été nommé, sans opposant, vice-président du groupe parlementaire PS et je préside Suisse Rando, une grande organisation, importante au niveau national. Aucun des deux candidats PDC n'a l'"expérience de Berne".
 
Vous trouverez d'autres questions, réponses et prises de position dans les rubriques „Liens“ et „Archives“.

 

 

22. Oktober 2007

18'128 mal Merçi

 

 

19 octobre 2007

"Le socialiste haut-valaisan Peter Jossen s'est surtout profilé pour succéder à son camarade Thomas Burgener"

L'hebdo 18 octobre 2007

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